HISTOIRE D’EMBRYON

Nos ancêtres, nos mémoires cellulaires et le bagage ancestral que nous portons. 

Les études sur la psychogénéalogie continuent de nous démontrer chaque jour que nous portons des traumatismes qui ne nous appartiennent pas directement. Nous les véhiculons, les exprimons ou non, les vivons, les ressentons. Cependant, ils sont le résidu d’un vécu appartenant à nos ancêtres. 

Les études sur l’embryologie permettent de mieux comprendre ce transfert de traumatisme, et de visualiser la transmission de ce bagage émotionnel et donc cellulaire. 

Si nous développons les étapes de conception de vie, nous verrons tout de suite comment cela peut se produire. 

En premier, la mère vit et grandit avec toutes les étapes émotionnelles positives ou néfastes qui s’inscrivent en elle, dans ses cellules, dans son être. 

Arrivée à un âge, où, elle envisage de fonder sa descendance avec un homme, le désir et l’envie se font ressentir dans son corps. La conception se produit plus ou moins facilement si la visualisation de ce projet est simple sans peur, sans contrôle excessif, sans autre élément perturbateur.  

En deuxième temps, lors des premières semaines de la création de l’embryon, la plupart des systèmes sont quasiment existants comme le système nerveux, les quelques systèmes musculaires et squelettiques, et la peau.

Lors de cette période, après presque deux semaines de formation nous pouvons donc imaginer que nous pouvons fortement impacter cet embryon avec notre bagage émotionnel et cellulaire. 

A la naissance, le bébé est parfaitement formé avec un système gynécologique complet. Cela veut dire qu’il comporte les futures ovocytes (ovule) ou spermatozoïdes pour la création de plusieurs enfants. 

Si cet enfant a en lui un ovocyte ou spermatozoïde lui permettant de créer un enfant, cela veut dire que ce même enfant lors de sa création dans le ventre de sa mère avait déjà ces cellules reproductrices. 

Le chemin qu’il faut donc comprendre est le suivant :
Une grand-mère donne naissance à sa fille. Cette fille devient mère. Cette mère donne naissance à un enfants. Ce dernier enfant existait déjà en l’état d’un ovocyte dans le ventre de sa grand-mère. Voilà comment nous pouvons faire le pont entre les générations et donc mieux comprendre et délier des traumatismes transgénérationnels. 

Thérapies conseillées :
Réflexologie générale
Psycho-émotionnel
Kinésiologie

Auteure : Noémie Pasqual, thérapeute en réflexologie générale